Éditeur : Folio – Date de parution : 2012 – 624 pages.
4ème de couverture : « Avec l’arrivée de Neal a commencé cette partie de ma vie qu’on pourrait appeler ma vie sur la route. Neal, c’est le type idéal, pour la route, parce que lui, il y est né, sur la route… » Neal Cassady, chauffard génial, prophète gigolo à la bisexualité triomphale, pique-assiette inspiré et vagabond mystique, est assurément la plus grande rencontre de Jack Kerouac, avec Allen Ginsberg et William Burroughs, autres compagnons d’équipées qui apparaissent ici sous leurs vrais noms. La virée, dans sa bande originale : un long ruban de papier, analogue à celui de la route, sur lequel l’auteur a crépité son texte sans s’arrêter, page unique, paragraphe unique. Aujourd’hui, voici qu’on peut lire ces chants de l’innocence et de l’expérience à la fois, dans leurs accents libertaires et leur lyrisme vibrant ; aujourd’hui on peut entendre dans ses pulsations d’origine le verbe de Kerouac, avec ses syncopes et ses envolées, long comme une phrase de sax ténor dans le noir. Telle est la route, fête mobile, traversées incessantes de la nuit américaine, célébration de l’éphémère. »
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Road-trip à travers les Etats-Unis, emblème de la Beat Generation, ce roman est une ode au voyage, à la poésie de l’instantané et à l’humeur vagabonde. La version issue du rouleau original donne à lire une prose sans point, le texte se déroulant à toute allure, on ne lâche pas le livre jusqu’à la fin…
je suis en train de le lire ! Merveilleux livre qui fait rêver des Etats-Unis !
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