Éditeur : La Table Ronde – Date de parution : avril 2017 [1952-1953] – 326 pages
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Cet ouvrage rassemble les nouvelles de Sylvia Plath. On y rencontre beaucoup de personnages féminins qui semblent attachés à des rêves, des lubies… Une femme qui ne rêve plus la nuit se désespère face aux rêves si poétiques de son mari. Une femme se met à taper à la machine les rêves des autres, se glissant dans la peau d’un collectionneur de rêves ; et ce lac où se retrouvent tous les rêves des gens depuis le début du monde…
Les récits de ce recueil me sont apparu assez inégaux. Certains m’ont séduit quand d’autres m’ont laissée totalement indifférente. Il demeure malgré tout que l’écriture de Sylvia Plath est belle et élégante. Ses personnages sont délicieusement en dehors du réel, flottant entre deux mondes, évanescents et rêveurs. Un peu fous, ils ont des envies d’ailleurs et aiment se soustraire au monde réel.
Merci aux éditions de La Table ronde pour cette lecture !
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« Elizabeth chérissait comme un ami calomnié le monde vague et imprécis dans lequel elle vivait. C’était un monde crépusculaire où, la nuit, la lune flottait par-dessus les arbres, frémissant ballon de lumière argentée ; les rayons bleuâtres vacillaient à travers le feuillage, traçant des dessins fluides et tremblants sur le papier peint de sa chambre. »
J’aimerais beaucoup découvrir la plume de Sylvia Path ! 🙂
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Je te la conseille! Tu peux commencer par son roman La Cloche de détresse! ou par ses recueils de poèmes 🙂
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Merci 🙂 Je note tout ça !
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J’ai entendu parler des poèmes de Sylvia Plath mais je ne savais pas qu’elle avait écrit des nouvelles, ça m’intéresse beaucoup, je note le titre dans ma wish list.
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Oui, elle a pas mal écrit en dehors de la poésie! Je te recommande son roman La Cloche de détresse aussi.
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