Éditeur : Slatkine & Cie – Date de parution : 20 août – 416 pages
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Fin des années 90. Robert Beck enseigne l’allemand et la musique dans un lycée où il ne supporte plus ses collègues. Approchant de la quarantaine, il accuse le coup d’une carrière ratée de musicien ; son rêve s’est brisé le jour où il s’est fait virer de son groupe comme un malpropre. Deux rencontres vont venir s’inscrire dans sa routine et le détourner de son enlisement dans le quotidien. Il y a Rauli, cet élève lituanien brimé par les autres et qui se révèle être un prodige de la musique. Beck va le prendre sous son aile pour en faire la nouvelle star montante… Et Lara, cette serveuse qu’il surprend en pleine rupture amoureuse au téléphone dans la rue. Qu’il drague alors qu’elle n’est pas du tout son genre.
Le dernier été c’est l’été 99. L’été durant lequel Beck, Rauli et Charlie – son meilleur ami afro-allemand maniaco-dépressif et toxicomane échappé de l’hôpital psychiatrique – prennent la route, direction Istanbul.
Robert Beck est un personnage très antipathique, égoïste et ironique qui ne pense qu’à lui, qui peut lancer de sacrées vacheries à ses amis puis le regretter aussitôt – ou pas… C’est un homme lâche, menteur et vaniteux qui se rend compte qu’à trente-sept ans il n’a toujours pas vécu et qu’il est peut-être en train de rater sa vie.
Une drôle d’écriture, un peu maladroite parfois (mais peut-être est-ce dû à la traduction ?) Un roman qui m’a tour à tour attendrie, agacée, laissée de marbre pour finalement m’émouvoir sur les dernières pages. J’ai eu un mal fou à ressentir de l’empathie pour Beck… Une lecture donc relativement mitigée pour moi. J’ai de loin préféré son premier roman paru en France, La Fin de la solitude.
Et vous, qu’en avez-vous pensé ?
J’ai été moins sévère dans mes commentaires. Je n’ai pas trouvé Beck si antipathique, « juste » très égoïste. Il m’a bien agacée aussi, donc je n’irais pas boire un café avec lui 🙂
J’ai beaucoup aimé la fin du roman. Après c’est le premier roman de l’auteur donc clairement moins abouti que son livre La fin de la solitude que j’ai beaucoup aimé.
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J’ai aimé la fin du roman aussi! Mais le reste ne m’a pas convaincue..
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Je comprends !
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Je ne connais pas du tout mais j’avoue ne pas être plus tentée que ça 🙂
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Et je ne te le recommanderai pas forcément ^^
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Le résumé donne très envie mais ta chronique un peu moins ^^ Mais tant mieux, cela me permet de ne pas me lancer tête baissée dans un livre qui, comme le résumé le suggère, peut être assez brouillon et inégal…
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Lol oui le résumé donnait envie mais j’ai vraiment été déroutée par ce roman qui a failli me tomber des mains
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La fin de la solitude est toujours dans ma pal, et au vu de ta chronique, je vais lire son précédent roman d’abord 😉
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Oui je te conseille de commencer par La fin du la solitude 😉 rien à voir entre les deux romans j’ai vraiment été déçue par Le dernier été.
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J’ai parlé avec une blogueuse de ce livre, et elle n’était pas du tout enthousiaste! Je crois qu’elle n’a pas fini le livre d’ailleurs.
Je passe mon tour 🙂
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Tu fais bien 😉 il a failli également me tomber des mains…
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Coucou, je crois que c’est moi la blogueuse ! 😉 Effectivement, il m’a laissée froide, il m’est tombé des mains, et j’ai détesté l’écriture …. pas fini, donc ….
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C’est vrai que l’écriture m’a vraiment pas du tout plu…
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Je l’ai trouvée quelconque et vulgaire …
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C’est ça…
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Je ne connais pas…
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Ma PAL te remercie.
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Lol! de rien 😉
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Oh la la un livre qui inspire autant de sentiments, c’est toujours un peu inquiétant… Mais on aime aussi alors se faire sa propre opinion…
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Oui! mais ce qui reste après l’avoir lu, c’est la déception… mais bon ce n’est que mon avis! 😉
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